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Les commentaires de Sylvain Rakotoarison



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 juillet 2012 08:20

    À Soi même,

     Comme dans chaque période, il y a un événement considéré comme le début. Ce fut le cas aussi de l’assassinat de l’archiduc d’Autriche pour la Première guerre mondiale mais la tension internationale était déjà grande indépendamment. C’est la différence entre réacteur chimique et catalyseur.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 juillet 2012 08:18

    À Citoyenrené,

    Merci d’avoir cité Sieyès, qui deviendra plus tard l’un des membres du Directoire et consul avec Napoléon, et de montrer la connotation négative (surprenante) de la notion de démocratie. La démocratie représentative est cependant une sorte de synthèse des deux notions : démocratie et représentation du peuple.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 juillet 2012 08:15

    À Citoyenrené,

    Comme dit dans ma précédente réponse, cet article parle uniquement des événements du 14 juillet 1789 et pas de la Révolution française dont les causes sont bien plus profondes. Je parle de l’élément déclencheur qui a provoqué en quelques jours (heures) la prise de la Bastille, à savoir le renvoi du très populaire Necker (je l’ai évoqué).

    Pour le reste, c’est un autre sujet, notamment lorsqu’on arrive à 1792 puis à 1793 et la Terreur de Robespierre.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 juillet 2012 08:13

    À OneCroco,

    L’article est une modeste narration du 14 juillet (donc, votre seconde hypothèse). Je n’ai pas bien compris en quoi la bonne moitié de mes propos serait fausse, laquelle ? pourquoi ? Je n’ai évoqué qu’un épisode factuel de l’histoire de la révolution, je n’ai pas parlé de 1791 (hors sujet ici) et il est fort peu probable que les banquiers de l’époque fussent derrière les révolutionnaires puisque la Révolution a pour but de remettre les compteurs à zéro, donc, ce sont, au contraire, les premières victimes économiques. Si la « bourgeoisie » a repris pied, c’est surtout grâce au traitement postrévolutionnaire réalisé par Napoléon, pérennisant l’État de droit mais restaurant l’autorité monarchique.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 juillet 2012 08:10

    À Schweizer.ch,

     Oui, je ne suis pas loin de penser que la prise de la Bastille a été un événement macabre qui a très mal commencé la Révolution avec un lynchage et décapitation de personnes qui auraient pu être évités (barbarie d’ailleurs totalement inutile pour ce 14 juillet 1789 puisque l’objectif avait été atteint).

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 juillet 2012 08:06

    À J. Grau,

    Le concept de la démocratie est à manier avec précaution. Hitler n’est pas venu au pouvoir par un plébiscite mais à la suite d’élections législatives démocratiques (et d’erreurs de discernement d’alliés « démocrates »). Ce n’était bien sûr pas mon propos ici mais le sujet est très intéressant. Le peuple peut parfois être convaincu par des personnes qui refusent la règle démocratique, c’est le point de faiblesse de la démocratie.

    Sur la dernière partie de votre commentaire, je n’ai pas parlé, dans cet article, des causes de la Révolution qui sont bien plus profondes, à la fois économiques et sociales (famine, absolutisme etc.), mais sur l’élément déclencheur de la prise de la Bastille (qui se trouve être, par la suite, considérée comme l’élément déclencheur de la Révolution). Bien évidemment, je pense que tout a commencé par les États généraux et la possibilité d’une nouvelle expression populaire (un peu comme Gorbatchev l’a provoquée avec la glastnost et la perestroïka).

    Contrairement à vous, je ne pense pas du tout que nous sommes dans une situation comme en 1789 car l’histoire n’est plus franco-française mais mondiale. Nous sommes à l’évidence dans une société en mutation, mais très différente de 1789, il faudrait là aussi un article pour étayer mon propos.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 31 mars 2012 08:35

     À Pandy,

    Justement, les analyses ADN seraient bien incapables de définir des catégories (encore une fois, je me moque complètement du mot « race » lui-même, on peut l’appeler par un autre mot que cela ne changerait rien : sous-espèce, lignée, classe, catégorie, tiroir, etc.) selon des critères d’apparence visuelle. Et c’est justement très différent du sexe qui lui, effectivement, est immédiatement détectable par analyse génétique.

    Je vois d’ailleurs que vous aimez ajouter de la confusion en mélangeant des notions, ce qui est un signe de malhonnêteté intellectuelle. Je ne vois en effet pas quel rapport le sujet a avec les maladies, la pauvreté, la malchance et encore moins avec le dictionnaire puisqu’il s’agit ici de modifier la Constitution, pas le dictionnaire, je ne suis pas à l’Académie française.

    J’ai expliqué pourquoi ce n’est pas pertinent de proclamer qu’il existe des classes (ou « races ») dans la population puisque d’une part, il n’en existe pas (je répète, le génie génétique est redoutable à ce point de vue), et d’autre part, qu’il en existe ou pas, le simple fait de faire des partitions donne la possibilité, à d’autres sinon à soi, de faire des hiérarchisations.

    La question qui serait intéressante, c’est : pourquoi tenez-vous tant à ce mot (qui ne date juridiquement que de Vichy, je le répète) alors qu’il est désormais scientifiquement obsolète ? Pourquoi le défendez-vous si ostensiblement alors qu’il est normal qu’après 53 ans (en fait, 65 ans puisqu’il a été introduit dans le préambule de 1947), les points de vue avec le monde ont évolué ?

    Je ne parle pas de phénomène acquis, ou alors, acquis mais pas pour un seul individu. Oui, c’est le principe de la sélection naturelle : des mutations génétiques (aléatoires) qui sont confortées par l’environnement pendant et qui permettent la postérité au contraire d’autres patrimoines génétiques moins adaptés et qui sont sans postérité.

    L’erreur que vous commettez, c’est que s’il y a des différences génétiques concernant la couleur de la peau (par exemple), qui sont encore assez floues puisqu’il s’agit de dizaines de gènes, il est d’autres différences complètement indépendantes de cette couleur de la peau qui sont bien plus importantes entre les individus.

    Je vous fais un parallèle très simple (donc forcément caricatural) pour expliquer : vous avez un jeu de formes en bois (pour bébés par exemple) avec des formes différentes (cube, parallélépipède, sphère, cylindre) et avec des couleurs différentes (rouge, bleu, vert, jaune). En quoi serait-ce plus pertinent de classer ces objets selon leur couleur et pas selon leur forme géométrique ? Un cylindre rouge pourrait-il mieux s’identifier comme un cube rouge ou comme un cylindre vert ? Rien que la question est absurde.

    Bref, avec ce type d’exemple, vous voyez bien le manque de pertinence d’une classification des humains, d’autant plus qu’il n’y a pas deux critères mais bien plus...

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 30 mars 2012 16:15

     À JL1 15:50,

    Visiblement, vous n’avez pas lu mon article.

    Le mot ne date pas de deux siècles mais de 1940 pour la première fois (Vichy).

    Ce que j’explique ensuite, c’est que le fait même de dire qu’il y a des partitions de population (appelons-les « races » ou un autre mot), en dehors de considérations sociales, culturelles ou individuelles, est à mon sens une réflexion raciste. Car partitionner, c’est la porte ouverte à la hiérarchisation, même si ce ne sont pas les mêmes qui effectuent les deux opérations.

    Par ailleurs, votre candidat Mélenchon est lui aussi partisan de la suppression de ce mot (je l’ai indiqué dans le texte).

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 30 mars 2012 16:14

     À Pandy 15:29,

    J’ai hésité à vous répondre car je ne réponds jamais à des personnes qui manquent, sinon d’éducation au moins de politesse. Cependant, vous soulevez des sujets qui méritent réponses malgré votre amour de l’Homo sapiens que vous appelez « ça ».

    Révisez d’abord vous-même les notions scientifiques élémentaires : la race n’est d’aucune légitimité et n’a aucune définition scientifique. Ne prenez pas des manuels des années 1930, mais par exemple (il y en a d’autres), cet excellent livre : « Guide critique de l’évolution » sous la direction de Guillaume Lecointre (éd. Belin, 35 euros).

    Pour le métissage, il s’agit d’un brassage de toutes les populations. On le démontre aisément sur les analyses génétiques réalisées un peu partout dans le monde. Des gènes communs malgré des différences physiologiques qui ne sont que superficielles et dues à l’adaptation du corps à son environnement. Encore une fois, je répète que le patrimoine génétique peut être plus différent entre deux individus d’ « apparence » semblable (prenons ce mot devenu à la mode) que deux individus qui ont l’air différent.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 30 mars 2012 14:11

    À Jullien,

    Le problème, dans votre définition (qui est respectable), c’est que ces descendants de plusieurs ancêtres différents se sont entrecroisés au fil des siècles et des millénaires, et donc, il n’existe pas, je reprends ce mot plus porté vers la généalogie, de « lignée pure » dans le sens où d’autres « lignées » ne viendraient pas s’en mêler. Chaque individu parmi les sept milliards que compte actuellement cette planète n’est que le résultat génétique d’un nombre incalculable de croisements, de métissages etc. de différentes « lignées ».

    Par conséquent, même avec votre définition, cette catégorisation n’a aucune légitimité. Il n’existe qu’une seule race humaine, une sorte de mix assez diversifié avec un patrimoine génétique commun : homogénéité et altérité. Les analyses ADN sont redoutables car elles ont permis d’établir précisément des faits en dehors de toute idéologie.

    Quant aux « races » pour les animaux, vous savez certainement que pour une même race de chat ou de chien, par exemple, il existe des individus de couleurs de poils différentes.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 27 mars 2012 18:18

    À Wierko,

    Ok, je comprends ce que vous dites.
    Je pense que nous pouvons nous rejoindre sur le fait que le mieux serait un rectificatif par la personne qui a fait l’impair.

    C’est de bonne guerre d’utiliser toutes les brèches, mais je trouve le sujet trop sérieux pour polémiquer.
    Soit dit en passant, le surcroît de polémiques de la fin de la semaine dernière sur ce sujet montre le niveau d’hypocrisie du début de cette même semaine.

    J’ai déjà réagi sur des comportements autant honteux de la droite.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 27 mars 2012 17:40

    À Wierko,

    Votre propos se tient, évidemment, celui de ne rien laisser passer.

    Je ne sais pas si vous avez écouté le passage où Nicolas Sarkozy fait cette maladresse malheureuse mais c’était juste après avoir rappelé que le tueur était justement un Français et donc que les déclarations de Marine Le Pen étaient très peu pertinentes.

    Je vous concède que le meilleur moyen de couper court aux critiques serait de faire amende honorable et de reconnaître son erreur, chose qui se fait de moins en moins souvent, peut-être à cause d’un amour-propre mal placé et de cette idée qu’une simple concession serait laisser du terrain (électoral) à l’adversaire.

    Mais je persiste à trouver la polémique à la fois misérable (car pour une fois, la plupart des candidats se rejoignent sur l’importance de ne pas faire d’amalgame ; je me demande d’ailleurs ce qu’est venue faire Marine Le Pen à l’hommage à Montauban si c’est pour cracher son fiel aussi vite après) et contreproductive, car beaucoup trouveraient que « musulmans d’apparence » est une expression qui serait injustement fustigée et en tireraient des conclusions électorales prévisibles.

    Le plus important, au contraire, ici, c’est que Nicolas Sarkozy ait une position digne et responsable.
    Pas qu’il s’exprime mal.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 22 mars 2012 09:39

    François Bayrou l’avait aussi exprimé le matin du 21 mars 2012 sur France Info : « La radicalité dans laquelle sombre peu à peu la société française est préoccupante. (...) Je récuse toute mise en cause, mais je dis que nous avons devant nous une société malade. Il y a des germes explosifs et une dégradation latente. Cela appelle à une unité nationale.  ».



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 20 mars 2012 08:24

    À Jpm

    Oui, merci de la correction, effectivement, la benjamine est Nathalie Arthaud de LO.
    Elle remplace Arlette Laguiller qui fut candidate dès le 5 mai 1974 à 34 ans mais n’était pour autant pas la benjamine puisqu’il y a eu trois autres candidats plus jeunes qu’elle dont Alain Krivine (LCR) et le benjamin, Bertrand Renouvin, 30 ans.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 mars 2012 20:05

     À « La râleuse »,

    C’est assez extraordinaire qu’on fête encore cette personne cinquante ans après sa disparition.

    Je ne sais pas s’il y a un vrai changement ou pas avec le temps. Des élèves sont toujours touchés par un ou plusieurs enseignants au cours de leur scolarité. Quant aux valeurs morales, je vous accorde que cela devient de plus en plus à contre courant dans le contexte ambiant (société de consommation, du jetable, du zapping, de l’immédiateté et de l’impatience).

    Ne soyez pas désolée pour les coquilles, les fautes de frappe peuvent être nombreuses sur un ordinateur et je me suis aperçu que mon cerveau était plus apte à faire des erreurs de distraction avec clavier qu’avec un stylo. Et la relecture n’est pas forcément aisée dans des petites fenêtres.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 mars 2012 20:04

     À Richard Schneider,

    Bravo d’être revenu voir votre instituteur. Ceux qui connaissent un peu le milieu de l’enseignement savent qu’il y a en général très peu de relations entre anciens élèves et anciens professeurs, par oubli, temps qui passe ou manque de maturité. Ce qui a rendu cette réunion de 150 anciens élèves du CP particulièrement émouvante.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 2 mars 2012 18:22

    D’accord avec vous, Taverne.

    C’est aussi le chat qui se mord la queue : ces personnalités hésitantes prêtes à le soutenir le feront d’autant plus facilement que les sondages sont bons... Si c’est pour perdre, elles n’ont aucune envie de prendre des risques. C’était déjà le cas en 2007. Intéressant d’analyser le jeu des soutiens au sein du RPR en février/mars 1995 entre Balladur et Chirac, entre sincérité, fidélité, loyauté et ...arrivisme.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 2 mars 2012 17:11

    Je ne vous parle pas depuis octobre 2011 mais depuis février 2012 (que vient faire mars 2011 ?).
    Ainsi, on a +3% pour Sarkozy, +7% pour Hollande, +8% pour Bayrou, + et aussi +8% pour Fillon, +6% pour Aubry, +3% pour Juppé, +6% pour Mélenchon, +4% pour Marine Le Pen etc.
    Le commentaire du sondage explique d’ailleurs (il faut lire votre fichier) : « Presque toutes les personnalités testées connaissent ce mois-ci une progression de leur cote de confiance » (toutes sauf Borloo et Joly). Hausse expliquée par le démarrage de la campagne avec l’entrée en lice de Sarkozy.

    Vous ne me répondez pas sur la polarisation de l’électorat.
    Ceux qui se réclament de droite donnent (en opinions positives) : 82% à Sarkozy, 56% à Bayrou et 22% à Hollande.
    Ceux qui se réclament de gauche donnent (en opinions positives) : 85% à Hollande, 52% à Bayrou et 13% à Sarkozy.

    Vous voyez, en global, Bayrou tire son épingle du jeu mais les camps restent polarisés.
    C’est là le principal problème de Bayrou, il n’est pas premier dans l’un de ces « camps ».

    En terme d’aveuglément...
    Savez-vous que vous être largement contreproductif dans votre militantisme ? Il faut bien que quelqu’un vous le dise.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 2 mars 2012 16:38

    J’ajoute que François Bayrou se retrouve comme, avant lui, Simone Veil, Jacques Delors, Raymond Barre et Michel Rocard, personnalités politiques très populaires car le « camp d’en face » les appréciait beaucoup mais restait polarisé sur son propre candidat le jour du vote.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 2 mars 2012 16:28

     À l’auteur,

    Je ne suis pas sûr que ce genre de raisonnement soit de nature à renforcer l’assise électorale de François Bayrou. Il me semble que parler de son programme et miser sur les incohérences de ses concurrents est bien plus efficace.

    Concernent ce sondage, il faut faire deux ou trois remarques. Avec le début de la campagne, à l’exception notable d’Eva Joly, TOUS les candidats ont engrangé des hausses de popularité. Y compris Nicolas Sarkozy. Marine Le Pen, par exemple, se situe à 29% d’opinions positives, ce qui est fort (et heureusement que cela ne se traduit pas en intentions de vote).

    Deuxième réserve, et c’est sans doute ce qui explique que cela ne se traduise pas en intentions de vote, François Bayrou est relativement populaire dans les deux « camps », à droite et à gauche, mais est loin d’être le plus populaire dans chacun de ces « camps ». Conclusion, il obtient la meilleure moyenne globale mais n’est pas au top dans le classement partiel à droite et à gauche. C’est son problème majeur du premier tour.

    Même si ce sondage ne l’a pas testé, il est probable que les « sympathisants du centre » le plébiscitent (c’était déjà le cas lorsque Jean-Louis Borloo et Hervé Morin étaient encore dans la course). Seulement, l’ennui, c’est que ceux qui se diraient sympathisants du centre sont une infime minorité et sont quasiment négligeables (en nombre) par rapport à ceux qui se reconnaissent de droite ou de gauche. C’est là une situation de fait qui handicape lourdement François Bayrou.

    Maintenant, j’ai entendu samedi dernier au 4e forum que François Bayrou ne voulait pas monter trop vite comme en 2007, car sa dynamique a été cassée un mois avant le premier tour. En tout cas, il fait tout pour défocaliser l’attention médiatique sur le couple Hollande/Sarkozy. Il peut toujours y avoir des divines surprises.

    Cordialement.