@Epsilone
Merci pour le message. C’est vrai, je n’ai pas tout lu, et cela demande du temps, mais j’essaie de comprendre votre pensée. Je crois que pour avoir écrit ce gros livre, c’est que vous avez été inspiré de le faire.
En clair, du moins selon ce que je comprends, vous avez été obligé de l’écrire, et par inspiration que l’on ne commande pas, on fait ce qui nous est dicté, surtout que c’est dans le sens du bien, on y est encouragé, et même récompensé intérieurement.
Et c’est la raison pour laquelle je vous ai posé la question sur la réincarnation, qui m’a intéressé parce que c’est un sujet métaphysique et j’ai voulu comprendre votre idée. Vous avez beaucoup écrit dessus, mais vous ne donnez pas de réponse ; à mon sens, vous dissertez. D’ailleurs ce passage :
"Nous verrons
que si la réalité de la réincarnation pouvait être établie, cela pourrait changer
profondément le paysage philosophique. Et que savons-nous de ce qu’il en adviendrait si ces observations faisaient l’objet de l’investigation qu’elles méritent ? Je veux donc montrer
ici l’immense enjeu de la question
et éveiller l’intérêt pour elle.
Et je ne parle pas du tout de la satisfaction que nous pourrions éprouver à savoir que nous allons survivre.
Bien
que cette question
soit centrale pour mon propos, je ne veux pas aborder ici la
question de la réalité de la réincarnation et ceci pour trois raisons.
La première est que, si je
suis convaincu de sa réalité c’est, pour une part au moins, grâce à une expérience personnelle qui ne vaut que pour moi et dont je ne peux tirer argument. La seconde est que ceci est un
ouvrage de philosophie. La troisième est que c’est un travail qui revient aux psychologues.
Je m’intéresserai donc à la description de ces observations et je tenterai
de répondre aux questions
et objections que l’on peut énoncer.
La question qui m’intéresse plus particulièrement ici est d’essayer
de
savoir si cette révolution silencieuse va
finir
par
s’imposer en dépit de la contre-révolution.
L’idée de réincarnation présente-elle une force de conviction rationnelle et expérimentale qui finira par vaincre toutes les résistances psychologiques
et sociologiques ou ne sera-t-elle qu’un feu de
paille ?«
Vous parlez d’expérience personnelle, mais combien elle ne vaut que vous et vous dîtes que vous ne pourrez argument, mais dans un ton impersonnel, commentez cette expérience comme si elle n’est pas à vous, peut-être pourriez-vous être plus clair d’abord avec vous et ensuite nous qui vous écoutons. Et peu importe s’il n’y a pas d’argument. Ne perdez pas de vue que votre expérience est en fait une pensée malgré qu’elle soit »enveloppée".
Merci pour le post ainsi qu’à xana qui trouve plaisir à nous lire. Et la lecture fait du bien.