Paul Jael

« Des propos honteux pour certains et largement repris et instrumentalisés côté russe. La télévision russe fait son miel des propos de Nicolas Sarkozy sur la Crimée. »

Les « certains » qui trouvent ces propos honteux ont peut-être tort.

Personne n’est responsable de l’usage de ses paroles fait par d’autres. La question n’est pas de savoir si l’intervention de Sarkozy plait aux méchants russes mais si elle est raisonnable. Je ne crois d’ailleurs pas que Sarkozy ait prétendu que les Russes ont eu raison d’envahir l’Ukraine. Peu de gens le pensent et certainement pas moi. Mais c’est quoi l’objectif final : flanquer une raclée aux Russes ou terminer le conflit imbécile qu’ils ont causé ?

@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
Difficile d’être plus à côté du sujet.

L’auteur a entendu des « cris d’orfraie ». Est-il compétent comme ornithologue amateur ? Ses cris à lui, sont-ils tellement différents ?

Auparavant, les climatosceptiques contestaient les prévisions des scientifiques. Maintenant, ils mettent en doute leurs constatations.

Il est aussi devenu impossible d’être climatosceptique sans un brin de complotisme

Merci pour cet article lanceur d’alerte.

L’élevage intensif est une industrie : on fabrique la viande comme on fabrique des smartphones ou des aspirateurs. Les animaux sont juste une matière première.

@Jean Keim
Je crois que vous oubliez quel est le fond du problème posé. La question est de savoir si le fait qu’on ait pensé une chose est une preuve que cette chose existe objectivement (de l’extérieur), avec en perspective l’existence de Dieu. Vous voyez « un fond de vérité » dans les cyclopes, les licornes etc. Ce fond de vérité est plus que contestable si l’on parle de la vérité de leur existence. Et en tout cas, le croyant d’une religion ne sera pas très heureux si vous consentez à son Dieu le « fond de vérité » d’un cyclope ou d’une licorne.
L’être humain est parfaitement capable d’imaginer un dieu même s’il n’existe pas (et je ne me prononce pas ici sur son existence). Peut-être puisera-t-il dans la réalité des éléments d’habillage de sa créature, ce qui explique l’anthropomorphisme des divinités dans beaucoup de religions. Mais cela ne rend pas plus réelle leur existence.
Il est aussi important de se rendre compte que l’humain a une incitation à imaginer un Dieu. Nous sommes tous plongés dans cette vie ne sachant pas d’où et pourquoi ; en outre la vie est pleine de souffrances, de menaces par la mort, la maladie, les forces de la nature et la faiblesse morale de notre espèce. Tout cela crée un besoin de consolation ; c’est ce que Dieu apporte aux croyants et il n’a pas besoin d’exister vraiment pour cela. La foi suffit.