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Pierre R. Chantelois

Pierre R. Chantelois

Après avoir oeuvré une dizaine d’années dans le secteur privé des communications (radio-télévision), je me suis orienté vers le secteur de la Fonction publique du Canada et du Québec du 1970 à 2005. J’ai occupé des fonctions de conseil, de gestion et d’analyste. Je me suis particulièrement intéressé à la télédiffusion des débats parlementaires, aux services en ligne gouvernementaux et aux communications stratégiques gouvernementales. J’ai touché au domaine des relations internationales et du développement international au sein du gouvernement du Canada et auprès d’une importante université francophone du Québec. J’ai oeuvré enfin auprès d’une société internationale d’informatique à titre d’analyste-conseil avant de prendre ma retraite en 2006.

Tableau de bord

  • Premier article le 18/01/2007
  • Modérateur depuis le 07/02/2007
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Derniers commentaires



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. Chantelois 9 novembre 2010 15:17

    Guy


    Qui se bat aujourd’hui pour la francophonie ? Nicolas Sarkozy ? Bernard Kouchner ? Allons donc. À propos de ce dernier, son discours du 20 octobre à Montreux était intéressant en théorie mais qu’en est-il en pratique ? « L’heure n’est plus aux combats d’arrière-garde ! Il est important que l’Afrique francophone parle aussi anglais, et réciproquement », juge le ministre. « C’est le sens du rapprochement entre la francophonie et le Commonwealth soutenu par le chef de l’État. Cette ouverture vaut aussi pour nos compatriotes. Ils savent que, pour compter dans le monde, ils doivent parler les langues étrangères », ajoute-t-il.

    Qu’est venu dire Nicolas Sarkozy au Québec en 2008 ? Le Québec qui se bat pour la protection de sa langue ? « J’ai toujours été un ami du Canada (…) Et franchement s’il y a quelqu’un qui vient me dire que le monde a besoin d’une division supplémentaire, c’est qu’on a pas la même lecture du monde  ». 

    J’ai peu d’espoir de voir un jour la francophonie croître dans le monde. Je la vois en pleine déliquescence. Je suis profondément pessimiste. Depuis cinquante ans, j’ai - pour une très petite part - combattu pour qu’elle garde ses lettres de noblesse. 

    Ma consolation est de voir, depuis 2008, ce qu’est devenu ce président qui n’a pas hésité à donner des leçons au Québec mais qui se garde bien de défendre, dans son pays, le fait français. Pourquoi prendrait-il le temps de le défendre ? Il a tant de casseroles autour de lui. Alexandre Wolff, responsable de l’observatoire de la langue française au sein de l’Organisation Internationale de la Francophonie (0IF), l’a bien noté : « le nombre de personnes parlant le français dans le monde est estimé à 200 millions, ce qui en fait, quantitativement, la 9e langue parlée dans le monde. Sur ces 200 millions, la moitié (96,2 millions) vit en Afrique et ce continent est, de loin, le principal réservoir de progression »

    Le quotidien La Presse titrait en ces termes un commentaire sur la francophonie : Le français progresse ? Merci l’Afrique !




  • Pierre R. Chantelois Pierre R. Chantelois 4 novembre 2010 11:06

    J’ai beaucoup de difficultés à cerner le sens de cet article. Est-ce un exercice critique ou une apologie du Tea Party. Nulle part vous faites mention du financement de cette mouvance par des milliardaires. Qui finance le Tea Party ? D’abord, FreedomWorks, dirigé par l’ancien numéro deux des républicains à la Chambre des représentants, Dick Armey. Il tire ses revenus de sociétés telles que Verizon, AT&T, Philip Morris et autres. Ensuite, Americans for Prosperity dont le financement est essentiellement assuré par les frères David et Charles Koch, libertariens et magnats du pétrole. 


    Et s’agissant de Rand Paul, que vous semblez élever au rang d’une relève nécessaire pour l’Amérique, sachez que cet individu milite, entre autres, pour une abolition de la Réserve fédérale et qu’il a fondé une association pour la suppression des impôts. Homosexualité, droits civiques et port d’armes, tout y passe. C’est ce même Rand Paul qui s’est déclaré en faveur de la suppression d’une disposition du Civil Right Act de 1964 qui interdit la discrimination fondée sur la race, la couleur, la religion, le sexe. Je vous propose de lire le New York Times sur Rand Paul. Autre lecture intéressante : le Nouvel Obs qui se penche sur les ultra-conservateurs qui font scandale. Pour la chronique People, je vous recommande celui-ci paru sur le Washington Post.




  • Pierre R. Chantelois Pierre R. Chantelois 2 novembre 2010 01:58

    Le Chat


    Je rejoins votre commentaire.

    Pierre R.


  • Pierre R. Chantelois Pierre R. Chantelois 1er novembre 2010 19:53

    Guy


    Je saisis très bien votre commentaire. Dans le cas présent, la situation est pire. Nous sommes dans le déni de justice. Nous ne sommes pas dans l’anatomie d’une application de justice. Mais bien d’un défi, d’un simulacre, d’une terrible hypocrisie de la part d’un pays qui se pourfend en leçons de justifier et de moraliste dans le monde. Rien de moins.

    Pierre R.


  • Pierre R. Chantelois Pierre R. Chantelois 1er novembre 2010 18:14

    Guy


    Mon expérience sur Facebook a été de courte durée. Je me suis d’abord inscrit sous un nom d’emprunt. Je ne voulais pas que mon nom véritable apparaisse sur cette plateforme dite coimmunautaire. Puis il m’a fallu gérer tout cela. Confidentialité, restriction dans les invitations de personnes inconnues qui souhaitent devenir votre ami, gestion des photos et la restriction de leur diffusion, etc. J’ai fermé mon compte (est-il fermé ? Nul ne sait) après qu’un plaisantin se soit servi de mon pseudonyme pour expédier des spams à quelques amis. C’en était trop.

    Le Canada, comme certains autres pays, ont exprimé des craintes réelles sur la gestion de la confidentialité de ce site. La vente des informations à des fins de marketing fait sourciller les gestionnaires des programmes de confidentialité dans quelques pays. Je suis toujours surpris de constater la facilité avec laquelle des gens bien intentionnés livrent des informations sur leur vie privée sans savoir dans quelle direction ces dernières vont circuler. Lorsqu’il s’agit de gros sous, les principes sont souvent considérés comme des empêcheurs de tourner en rond. Il faut savoir que 10 des applications les plus populaires sur Facebook transmettent toutes des renseignements personnels, selon une enquête du Wall Street Journal. 

    Lorsque vous écrivez : Facebook est présent dans 207 pays avec 130 amis par personne en moyenne, cela m’inquiète parce que le siège social est aux États-Unis qui ne se gênent pas lorsque vient le temps de procéder à des collectes d’informations. 

    Pierre R. 

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