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Accueil du site > Tribune Libre > Des chapiteaux druidiques dans la cathédrale de Chalon-sur-Saône !!! (...)

Des chapiteaux druidiques dans la cathédrale de Chalon-sur-Saône !!! ???

Située au bord de la Saône, au centre de la ville éduenne, la cathédrale de Chalon est actuellement en cours de restauration ; des échafaudages remplissent tout l'espace ; seule présence de vie, des alouettes égarées cherchent à rejoindre le ciel bleu extérieur en se heurtant aux vitraux multicolores.

 

Au fond de l'église, à droite en entrant, le Gaulois dont j'ai honoré la mémoire dans un ancien article est toujours là, Gaulois paillard, buveur de vin et coureur de jupons. Il s'est sculpté dans l'oeuf de la renaissance. Il est, certes, attaché à la terre par les chaînes de ses péchés. Mais admirez son astuce ! Il dresse en l'air deux foies d'animaux au-dessus des deux alouettes sur lesquelles il est assis, et celles-ci l'élèvent jusqu'aux félicités du ciel.

                                   

« Les Gaulois ne veulent aller ni dans les tristes royaumes du dieu des profondeurs, ni dans les silencieux séjours de l'Erèbe. Ils disent que le corps-âme vit dans l'autre monde (orbe alio). La mort est une phase intermédiaire avant une longue vie. » Et le poète ajoute : « Les Gaulois sont heureux quand la crainte de la mort, la plus terrible de toutes, les talonne. Ils se ruent au combat, l'esprit plein de courage. Leurs âmes sont prêtes à recevoir la mort. Ils savent que leur récompense sera la revie qui sera refusée au poltron (Lucain, Pharsale, Livre II).

Ci-dessus, à gauche, les sans-péché s'envolent dans des corps d'alouette tandis qu'à droite, les aigles du ciel emportent les pécheurs - lapin libidineux et blaireau - pour les dévorer dans leurs nids.

Gaulois ! Prenez-garde ! Le lion messager du ciel vous surveille !

 

                     La Cathédrale de Chalon

Rappelez-vous la faute de votre ancêtre Adam (barbu, à gauche) qui écouta le serpent maudit de la tentation ! Nouvel Adam (imberbe, à droite) prends garde !

 Dans le Saint des Saints de la cathédrale, en haut d'une colonne, à la droite du prêtre qui officie face au peuple, voici ci-dessous, le messie essénien annoncé dans les textes de Qumrân. Il est accompagné de deux témoins. Ces deux témoins sont à l'image d'Etienne qui fut lapidé par ses persécuteurs. Les deux martyrs éduens témoignent : « Et voici que nous contemplons les cieux ouverts et voici que nous voyons le Fils de l'homme assis à la droite de Dieu » (Actes des Apôtres,7, 56).

                   

C'est au point du jour que le messie d'Israël reçoit les rayons du soleil qui traversent les vitraux colorés du choeur. A ce moment précis, on le voit faire le signe essénien de reconnaissance, signe d'alliance entre Dieu et les hommes. Il étend sa main gauche sur le pain de vie, et de sa main droite aux deux doigts dressés, il bénit toute la congrégation de la communauté qui, dans la nef, attend dans le recueillement le plus total (manuscrits de la mer Morte, Règle annexe, rouleau de la Règle, II, 18 à 22).

Derrière le Seigneur, le drapeau blanc essénien apporte à la scène ce qui, pour les Gaulois, constituait le reflet de la religion : le civisme.

 Je te rends grâces, ô Adonaï, car ton œil veille sur mon âme...
 Je te rends grâces, car tu as illuminé ma face par ton alliance,
 Et (...), je t'ai recherché,
 Et, tel une véritable aurore, au point du jour, tu m'es apparu. (D,II,31 et Hn IV, 5 et 6, traductions d'André Dupont-Sommer, les écrits esséniens).

Retour aux fondamentaux ! Eve est une population, Adam est un conseil de chefs qui la dirige. Caïn sont les paysans, Abel, les soldats. Caïn offre à Dieu une gerbe de blé, Abel, un agneau de son troupeau militaire. Sur le côté, un paroissien négocie avec un druide son entrée au paradis.

A la mort de l'empereur gaulois Postumus (260 -269), Victorinus régna seul. En compagnie de son fils, il fut victime d'un groupe de factieux à Cologne. Les soldats le massacrèrent et à la même heure, ils proclamèrent son fils, César, et le tuèrent aussitôt.. (Aurelius Victor : Histoire abrégée.)


Fondateur de la cathédrale, Victorinus (260-274) est représenté dans un chapiteau, la couronne impériale sur la tête, l'étole du grand prêtre juif autour du cou, à gauche. En pendant, son fils, bien qu'il n'ait pas régné, à droite.

Dans un médaillon sculpté polémique du IIIème siècle, il est représenté dans une travée latérale de la cathédrale, vérifiant la virginité d'une vierge suivant la coutume juive. Voyez, à gauche, la partie du médaillon ou il est représenté. Il s'agit bien de l'actuelle cathédrale (à droite).

            

 Les Gaulois, écrit César, croyaient en une divinité de la Terre, dont ils auraient été, eux-mêmes, issus, de même que la nature. Leur univers terrestre était peuplé de multiples divinités. Quant au ciel, univers des dieux et du Dieu suprême, il était soutenu par des colonnes dont les pieds se trouvaient dans des régions lointaines inexplorées.

Pays éduen dans la carte de Peutinger de l'empereur Julien (361-363). La vignette de la cathédrale est bien indiquée.... sur la rive gauche de l'Arar (la Thalie, affluent de la Saône)

 Notre riche patrimoine ne mérite-t-il pas un peu plus de sérieux et de rigueur dans la recherche de son histoire ?

La mère de nos églises romanes, c’est le temple de Mont-Saint-Vincent, un temple aux sculptures archaïques que les fondateurs de la cité ont construit à l’image du temple de Salomon. Tout est parti de Mont-Saint-Vincent plusieurs siècles avant J.C... Ensuite, le temple de Gourdon est apparu sur une hauteur voisine, à quelques kilomètres seulement.

Il faudra attendre le III ème siècle après J.C. pour voir s’élever à Chalon-sur-Saône, ville éduenne par excellence, le temple de Cabillo, le plus beau temple de l’univers dont parle le rhéteur Eumène ; jamais détruit, toujours debout. 

Les ducs, ou leurs successeurs, lui ont simplement rajouté deux grandes tours/clochers qui modifient quelque peu son allure massive d’origine. Nous sommes à l’époque de Postumus, premier empereur gaulois à avoir rompu avec Rome, ce qui signifie qu’il ne payait plus le tribu habituel et qu’il conservait pour sa cité les revenus de l’impôt. A cela se sont ajoutés les nombreux prisonniers qu’il avait ramenés de ses campagnes militaires et auxquels il fallait bien trouver une occupation. Toutes les conditions étaient réunies pour un grand chantier de construction

Chalon-sur-Saône, le 7 mai 2024, les photos peuvent être soumises à des droits d'auteur. Prochain article : Apocalypse sur la tour de Taisey !

 


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22 réactions à cet article    


  • Sirius Sirius 8 mai 10:17

    « Les Gaulois, écrit César, croyaient en une divinité de la Terre, dont ils auraient été, eux-mêmes, issus, de même que la nature. »

    Pourquoi « de même que » la nature. ?

    Les Gaulois et les Celtes en général se considéraient comme partie intégrante de la nature, et non pas une esp-ces à part qui s’y opposeraient, comme c’est le cas dans les religions du livre. Ce courant n’a jamais disparu, et le naturalisme en vogue en Grande Breatagne (au substrat celtique prédominant mais oblitéré et dominé par les christianisme, et en France fin 19ème et début 20ème était une résurgence qui est toujours présente dans les superstitions et les mythes locaux comme celui de la voivre/vouèvre/vouivre ou les différents lutins qui prennent indifféremment des formes animales dont celle de l’homme.


    • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 10:56

      @Sirius

      « partie intégrante de la nature ? » Oui, je ne sais pas si César le dit mais je suis bien d’accord.


    • Sirius Sirius 8 mai 10:22

      « Pays éduen dans la carte de Peutinger de l’empereur Julien (361-363). La vignette de la cathédrale est bien indiquée.... »

      il n’y avait pas de cathédrales au 4ème siècle. Les édifices chréthiens un peu conséquants étaient des bailiques, bâtiments pubics de réunions régis auparavant par un basileus et reconvertis en édifices religieux (raison pour laquelle le plan des basiliques n’est pas une croix comme c’est le cas pour le plan des cathédrales)


      • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 11:46

        @Sirius

        Voici comment je traduis et interprète le discours du rhéteur Eumène : « La providence, dans son souci de mettre en ordre les choses, a voulu qu’ayant appris dans le faubourg sud de Chalon, à Lux, le succès de tes armes, tu te sentes obligé, ô empereur, d’offrir aux dieux immortels ce que tu avais promis, dans ce faubourg de Chalon, dis-je, d’où tu aurais dû te rendre (si tu avais été fidèle à tes engagements) jusqu’au temple le plus beau de l’univers (qui se trouve à l’autre extrémité de la ville) vers ce Dieu même (qui se trouve dans le temple), mais qui s’est montré à toi lorsque tu es arrivé ici, dans le faubourg sud de Chalon. »

        Et dans un autre passage, il précise : Car je le crois, ô Constantin, tu as vu ton Apollon, avec la victoire qui l’accompagne, t’offrir des couronnes de lauriers...(mon article du 10 janvier 2011)...« templum »...c’est clair


      • Sirius Sirius 8 mai 16:44

        @Emile Mourey

        « ... lorsque tu es arrivé ici, dans le faubourg sud de Chalon. » »

        ah non !
        désolé, mais dans le texte original,, c’est : « dans la ZUP de Chalon, à la sortie de l’échangeur »


      • Sirius Sirius 8 mai 10:24

        Le style et la teneur du texte au début de l’article sont tout-à-fait différents de ceux de la fin. L’auteur est le même ?




          • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 11:16

            @Sirius

            Votre lien est intéressant, je vais le lire avec intérêt.


          • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 14:03

            En fin de mon article, dans mon croquis, en bas, à gauche, il faut lire : « pont romain avec un point d’interrogation ».


            • Seth 8 mai 14:59

              J’ai du mal à suivre vos interprétations.

              Quasiment tous les chapiteaux que vous montrez ont un sens chrétien. Et ne pas oublier qu’il y a toujours eu des chapiteaux purement ornementaux.

              En plus c’est dommage, on ne peut pas agrandir les images et on y voit mal.


              • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 17:13

                @Seth

                Tous les chapiteaux que je montre ont un sens chrétien ? ...un sens chrétien qu’on essaie de leur donner... ou plutôt, qu’on n’arrive pas ou mal à leur donner. L’alouette n’est pas un symbole chrétien, c’est le nom d’une légion gauloise  la légion « Alauda » _. Un Adam chrétien qui montre son sexe ? Impossible ! L’offrande du pain, oui, mais le drapeau blanc qui est derrière est essénien ; des divinités à têtes d’homme qui crachent la nature, impossible !...etc...Aucune évocation des évangiles !


              • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 16:01

                Concernant le chapiteau d’Adam, il faut comprendre que si l’Adam de gauche est barbu, c’est u’il ne se rasait pas, à la différence du Gaulois civilisé, à droite, de notre époque.


                • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 17:26

                  rectificatif « dés l’époque de nos pères gaulois »


                  • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 18:57

                    @Emile Mourey

                    Nos pères gaulois se rasaient. Des découvertes archéologiques l’ont prouvé.


                  • Antenor Antenor 8 mai 18:55

                    La seule importante différence au niveau de la nef entre l’époque de la construction de la cathédrale de Chalon et celle d’aujourd’hui est le plafond « gothique ». Pour se figurer à quoi il pouvait ressembler à l’époque « romane », il faut regarder du côté d’Autun. Le plafond est la partie la plus fragile de ces édifices.

                    http://www.bourgogneromane.com/edifices/chalon.htm

                    http://www.bourgogneromane.com/edifices/autun.htm

                    Toute la difficulté est d’arriver à dater précisément les débuts de l’architecture « romane ». Sur les monnaies de Postumus, le temple au triple cercle (blason de Chalon et Macon) sur le fronton est dédié à Héraklès. Or contrairement à Mont-Saint-Vincent et Gourdon, on ne peut pas relier la cathédrale de Chalon à Héraklès.

                    La construction de ce temple a donc pu être lancée sous Postumus et terminée sous Constantin. Par extension, la monnaie au temple de Mars de Gallien pourrait bien désigner l’abbatiale de Tournus, champs de bataille et lieu fondateur de la prestigieuse dynastie des Sévère.

                    https://www.cgb.fr/gallien-antoninien-ttb,brm_819326,a.html

                    https://www.cgb.fr/postume-antoninien-ttb-,brm_332750,a.html


                    • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 19:20

                      Antenor, bonjour et bienvenue,

                      Vous dites : La seule importante différence au niveau de la nef entre l’époque de la construction de la cathédrale de Chalon et celle d’aujourd’hui est le plafond « gothique ».

                      Je ne sais pas ; je n’ai pas réussi à ouvrir vos liens. Sur la photo du médaillon, le plafond est pourtant bien « de forme » comme aujourd’hui. 


                      • Emile Mourey Emile Mourey 8 mai 20:55

                        @Antenor

                        mais, pour la nef centrale, vous pouvez avoir raison ; cela suppose une reconstruction.


                      • Antenor Antenor 11 mai 16:13

                        @ Emile

                        Les liens des images des monnaies dysfonctionnent systématiquement. Il faut sélectionner l’adresse en entier et la copier dans la barre de recherche.

                        La construction du temple de Mars à Tournus est l’indice que Gallien pressentait le soulèvement des légions des Limes et s’en remettait aux mânes des empereurs Sévère qui avaient jugulé la précédente sédition.

                        La vision de Constantin avant la bataille du pont de Milvius aurait également eu lieu à hauteur de Tournus, à Sainte-Croix-en-Bresse, d’après la tradition locale. La basilique de Constantin à Rome serait donc inspirée du temple de Tournus plutôt que l’inverse.

                        Si Constantin est le restaurateur de la cité éduenne dans son ensemble, on peut se demander s’il faut lui attribuer la construction du temple de Bibracte / Flavie / Mont-Saint-Vincent comme semble l’attester cette monnaie :

                        https://www.cgb.fr/constantin-ier-le-grand-quart-de-follis-ou-quart-de-nummus-ttb-sup,v53_0529,a.html

                        Comment ne pas voir dans la chouette, Mont-Saint-Vincent au sommet de sa montagne ? Le panache du casque à droite, c’est la virage de la Saône à hauteur de Chalon. La ville nouvelle est symbolisé par le rond reliant le panache au casque... et ce casque étiré, c’est la colline de Taisey ! La bouclier à gauche symbolise l’oppidum de Bibracte et la lance c’est l’axe Bourbince-Dheune pointée en direction du danger germanique.

                        Je remets les autres liens :

                        https://www.cgb.fr/gallien-antoninien-ttb,brm_819326,a.html

                        https://www.cgb.fr/postume-antoninien-ttb-,brm_332750,a.html



                      • Emile Mourey Emile Mourey 11 mai 17:38

                        @Antenor

                        Je suis très sceptique sur toutes ces interprétations de médailles ; s’il y a un autel à y figurer, ce serait celui de Lyon. S’il s’y trouve trois tours, ce devrait être l’ancienne forteresse de Taisey, et en effet, ce ne peut être que de là que le roi biturige a lancé ses deux grandes expéditions. S’il s’y trouve un oiseau, ce devrait être une alouette. Le rhéteur Eumène évoque deux temples d’Apollon au temps de Constantin qui ne peuvent être que le temple de Mont-Saint-Vincent et celui de Chalon etc... etc...


                      • Emile Mourey Emile Mourey 10 mai 20:23

                        L ’ALOUETTE DES CHAMPS

                         Citation : César, qui savait que sa modération était reconnue par tout le monde (sic), sûr qu’il était de ne pas se faire taxer de cruauté alors qu’il lui fallait seulement faire preuve de sévérité, ne voyant pas, d’autre part, comment il pouvait assurer autrement la réussite de ses projets si certains se mettaient ainsi à le contrecarrer un peu partout, décida de faire réfléchir les autres en soumettant au supplice, pour l’exemple, les défenseurs d’Uxellodunum. A tous ceux qui avaient porté les armes, il fit couper les mains, mais il leur laissa la vie sauve afin qu’ils portent témoignage sur le châtiment que les “mauvais” méritent (VIII, 44).

                         

                         Les Français les appellent “Alouettes des champs”, les Anglais “Alouettes du ciel”. Elles se réunissent par petits groupes pour se nourrir et émigrer170. A terre, on ne les distingue guère : elles se confondent avec la couleur du sol. Elles sont la modestie et la simplicité mêmes.

                         Sur leurs pattes malhabiles, elles sautent de mottes en mottes. Puis soudain, elles s’élèvent à perte de vue, dans un vol groupé tout en harmonie et en arabesques. Elles s’immobilisent dans l’air, repartent, tournoient, et montent dans le ciel. En s’élevant, elles chantent inlassablement, et leur chant mélodieux se perd peu à peu dans le silence des espaces infinis…

                         

                         Laissant pendre leurs moignons affreux et sanglants, les dents serrées sous l’emprise de la douleur, ils se tenaient droits, immobiles et fiers ; et dans le regard désespéré qu’ils tournaient en direction du ciel, il y avait toute une histoire vécue : les grandes migrations, les folles chevauchées entre compagnons d’armes, l’amour de la liberté, et puis, un terrible cri de souffrance.

                         

                         Eloï, Eloï, lama sabachtani ?

                         Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?171

                         

                         La foudre est tombée sur Gergovie.


                        (mon Histoire de Gergovie, publiée en 1993)


                        • Emile Mourey Emile Mourey 10 mai 21:24

                          C’est au point du jour que le messie d’Israël reçoit les rayons du soleil qui traversent les vitraux colorés du choeur. A ce moment précis, on le voit faire le signe essénien de reconnaissance, signe d’alliance entre Dieu et les hommes. Il étend sa main gauche sur le pain de vie, et de sa main droite aux deux doigts dressés, il bénit toute la congrégation de la communauté qui, dans la nef, attend dans le recueillement le plus total (manuscrits de la mer Morte, Règle annexe, rouleau de la Règle, II, 18 à 22). 

                          J’ai oublié de dire que c’est par ce signe qu’il se fera reconnaître quand il viendra... dans la cathédrale de Chalon ???!!!

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